lundi 18 mars 2019

Poème pour Jean Grosjean

Découverte d’un #mystique: Jean #Grosjean.
Merci.

« Être arbre effleuré par la brise légère
En nos vies voilées fait tressaillir l’éphémère
Ses feuilles délicates viennent penser nos plaies
Ses écrits nervures nous content l’éternité. »


Poème JDC 2019 03 17

jeudi 17 janvier 2019

Dans les cieux sans rivages #Poème 2 - 2019 01 17


Dans les cieux sans rivages
Au gré des gris nuages
D'un hiver moyen-âge
Apparait un visage

Venu de l'outre-temps
Ce superbe passant
Regarde avec tendresse
Notre monde de faiblesse

Poème 2 - 2019 01 17



Photo Bords de Marne
Jean-Denis CASTRO Copyright ADAGP 2019


mercredi 31 octobre 2018

La parole du silence - Poème 2018 10 29

 
Quand à l’automne le ciel
Le soir au couchant du soleil 
Se pare d’une croix
Alors sans voix
La parole du silence
A l’oreille de ton cœur
Te murmure le bonheur
De l’ange Délivrance

#Poème et photo de Jean-Denis Castro

2018 10 29


Photo Bords de Marne
Jean-Denis CASTRO Copyright ADAGP 2018

mercredi 17 octobre 2018

Ce nouveau matin #Poème 2018 09 30


Ton dernier mot
Appartiendra au silence
Seule issue 
Pour que tu vives
Éternellement 

Ton dernier souffle
Sera 
Brume de rosée 
Enfoui délicatement 
Dans l’air pur
De ce nouveau matin


2018 09 30
#Poème

mardi 9 octobre 2018

Le Maître voit dans le coeur du disciple

Un #Maître avait un #disciple qui n'obéissait pas volontiers. Le Maître absent, il murmurait contre Lui. En sa présence, il faisait ce qui lui était demandé, mais il murmurait dons son coeur.
Mais le Maître voit dans le coeur du disciple ce qu'il murmure.

lundi 17 septembre 2018

Le temps de la prière - Poème du 27 février 2018

En cette fin de vie 
L’âge déploie peu à peu
Tout au fond de nos yeux
Un léger infini

Si léger si délicat
Qu’il se pose ici-bas
Fragile et ému
D’être enfin reconnu

Enfin l’être aperçoit
La paix et la lumière
Et découvre dans la joie
Le temps de la prière


Poème du 27 Février 2018
 2018/4





vendredi 7 septembre 2018

Vient Celui qui vient -Poème du 7 septembre 2018

Un souffle un seul et unique 
Te tient sur la ligne de crête
Au milieu des tempêtes
Des êtres vulcaniques 

Sur ce terrain glissant
Tes pas sont chancelants
Tes yeux étincelants
Ton esprit frémissant

Ta marche incertaine soudain
Dans ce brouillard des haines
Te fait douter du lointain
Qui luit à l’horizon des plaines

Alors épuisé 
à genoux tombé 
De tout vidé
De rien comblé

Vient Celui qui vient 

Poème 2018 09 07