Un souffle un seul et unique
Te tient sur la ligne de crête
Au milieu des tempêtes
Des êtres vulcaniques
Sur ce terrain glissant
Tes pas sont chancelants
Tes yeux étincelants
Ton esprit frémissant
Ta marche incertaine soudain
Dans ce brouillard des haines
Te fait douter du lointain
Qui luit à l’horizon des plaines
Alors épuisé
à genoux tombé
De tout vidé
De rien comblé
Vient Celui qui vient
Poème 2018 09 07
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