lundi 26 août 2013

Sources et Racines en partage


"Si tu m'offres un présent et si je t'offres un présent, nous avons chacun un présent.


Si tu m'offres une idée et si je t'offre une idée, nous avons chacun deux idées."


nous enseigne la  sagesse traditionnelle chinoise.

Pour chaque être humain, le chemin de vie,
s'il le souhaite,
est l'occasion de rencontres, de dialogues, de partages, d'émotions, ...

Est l'occasion de progresser en connaissances, en raison, en sagesse,
en humanité, en bonté et en beauté.

Les sources auxquelles chaque être peut se désaltèrer sont diverses.

Chers visiteurs, 

voici en partage 

sur mon site internet


 www.jeandeniscastro.fr


quelques sources et racines
oeuvres romanesques, poésies, sagesses
oeuvres musicales, chants traditionnels et sacrés,
peintures,
sculptures
qui m'ont irriguées et nourries
tout au long de mon chemin de vie.




Encres de Chine et de couleurs à l'écoute du Souffle des Psaumes - Dialogues


Les maîtres traditionnels de la peinture chinoise des monts et des eaux ont chanté avec leurs encres les traces du Souffle, traces du Souffle de la vie, de la vie de la nature, de leurs vies dans la nature, de leurs philosophies et de leurs sagesses, de leurs retraites ... du "monde de poussière".

Ces traces qui courent sur le papier et sur la soie sont souvent accompagnées de leurs poèmes et constituent ensemble une œuvre unique.

En ces poèmes  murmurent les mélodies des mélancolies du monde des hommes, de la nature, des grands hommes et des saints immortels qui ont quitté, abandonné, en conscience, les mondes des  administrations des empires, pour trouver refuge à la campagne près des paysans pauvres et des moines ou dans les ermitages des montagnes sacrées, pour y mener une vie humble et méditative.

Ces encres et ces poèmes sont des hymnes, des soupirs, des cris, des portes ouvertes vers les chemins des cîmes et des cieux éternels  pour tout être qui se dépouille de toutes richesses pour mieux rechercher les voies et les chemins de l'élévation humaine vers plus grand que soi.

Ce cheminement par les encres et les poèmes mis en partage par les  "voyageurs couchés" nous ouvre à l'universel, nous porte vers les sagesses humaines qui tendent vers l'universel, nous permet d'accéder au Souffle du monde, au Souffle de La création.

Le Souffle des Psaumes, qui s'exprime par leur récitation incessante tout au long des "Heures" de la vie monastique, entre en résonance profonde avec le Souffle des encres et des poèmes, des sagesses, des méditations et des philosophies des lettrés peintres et poètes des monts et des eaux.

Ainsi se produisent rencontres riches et dialogues fructueux entre les  êtres nourris par ces transmissions des Traditions de La Vie et leurs  cheminements vers les montagnes sacrées.

Ce sont ces rencontres qui me permettent aujourd'hui de vous proposer plusieurs créations à l'écoute du Souffle des Psaumes, réalisées à l'encre chinoise ou de couleur, sur papier, sur carton entoilé ou sur toile,  sur mon site internet 

www.jeandeniscastro.fr

Certaines sont regroupées dans le chapitre "Encres chinoises à l'écoute du Souffle des Psaumes" et les autres sont réparties dans les différents thèmes.

Jean-Denis Castro
2013-08-26

mardi 20 août 2013

Encres chinoise et de couleurs sur Internet



Poésie


Au printemps 2013,

Jean-Denis Castro publie, pour la première fois, sur le blogger de Google, 60 poèmes sous le titre:

En août 2013, il publie en eBook chez Kindle d'amazon.com, ses deux premiers recueils de poèmes:
"Tristesses et Joies"



NB. 
Cliquez sur le titre des livres pour y accéder directement.

Expositions


En aout 2011, Jean-Denis Castro décide de présenter au public une première œuvre à l’encre chinoise, suivant en cela  la belle pensée de François Cheng : « Toute beauté invisible est vaine.»

Il envoie une création à l'encre chinoise, sur papier, "Lumière et passages", au jury de la Société Nationale des Beaux Arts, qui la retient pour son Salon annuel au Carrousel du Louvre de décembre 2011.

En février 2012, il décide de poursuivre cette démarche et de présenter quelques œuvres sur ... la Toile en créant son site internet: www.jeandeniscastro.fr

En mars 2012, le bureau de la Société Nationale des Beaux Arts propose à l'assemblée générale sa candidature pour qu'il devienne membre associé de la Société Nationale des Beaux Arts.


En septembre 2012, le jury de la Société Nationale des Beaux Arts retient pour la deuxième année consécutive, une œuvre à l'encre chinoise sur papier intitulée "Je viens sur les ailes de l'aurore" pour son Salon annuel du Carrousel du Louvre de décembre 2012. 

Début 2013, il crée neuf œuvres qui sont exposées, grâce à sa famille corse d'adoption, du 23 avril au 25 juillet à l'Hotel l'Escale à l'Ile Rousse en Corse.

Au printemps 2013, il crée 14 œuvres, comme les 14 jours de la saison d'un Suiseki, et met plusieurs de ces œuvres en dialogue avec des haïkus de grands poètes japonais, pour une exposition personnelle qui se déroulera du jeudi 20 mars 2014 au mercredi 30 avril 2014, chez Rosebud Fleuristes, place de l'Odéon, à Paris.

En septembre 2013, le jury de la Société Nationale des Beaux Arts retient une nouvelle fois une œuvre à l'encre chinoise sur papier intitulée " Des îles - Des pins sur les îles - Et le bruit frais du vent " pour son Salon annuel du Carrousel du Louvre de décembre 2013.

Rendre hommage aux Maîtres anciens

Maîtres racines et chemins des maîtres.

Les lettrés et peintres anciens, à chaque fois qu’ils s’inspiraient de leurs ainés, faisaient référence, en les nommant, à ces "maitres racines"  qui leur avaient transmis leurs souffles.

Dans le respect de cette tradition généreuse du "chemin des maîtres", Jean-Denis Castro rend aussi hommage aux maîtres anciens à chaque fois qu’une de ses œuvres - encre ou poème - a été inspirée et nourrie du souffle de leurs œuvres.

Maîtres racines et chemins des Maîtres

Biographie

Jean-Denis Castro, né en décembre 1950, est un peintre autodidacte. Il traverse quarante années de sa vie sans peindre. Pendant cette longue marche, passionné par les cultures du monde, notamment par les cultures chinoise et vietnamienne, il rencontre les œuvres littéraires et poétiques traditionnelles d’écrivains et de poètes de ces deux peuples qui, avec les œuvres de François Cheng et de Gao Xingjian, nourrissent au fil des ans son cheminement.

En 2004, la découverte des œuvres des peintres et lettrés chinois anciens des Monts et des Eaux, exposées au Grand Palais à Paris, réveille la passion de sa jeunesse pour la peinture.Encouragé par son épouse, il se met à l’ouvrage et apprend la trace du souffle qui chemine sur le papier, grâce aux œuvres des maîtres anciens que sont  Wang Fu (1362-1416), Wu Wei (1459-1509), Tang Yin (1470-1523), Wen Zhengming (1470-1559), Nizan (1301-1374), Mi Youren (1074-1153), Song Zu (1525-1606), Zhao Bosu (1124-1182), Zhang Dun Fu, Shen Zhou (1427-1509), Gong Xian (1619-1689), … 

Après sept années de travail acharné au crayon, à l’encre de Chine, à « l’encre chinoise » (qu’il nomme ainsi parce qu’il la fabrique lui-même) et quelques essais à l’aquarelle, il décide, en août 2011, de présenter au public une première œuvre à l’encre chinoise, suivant en cela  la belle pensée de François Cheng : « Toute beauté invisible est vaine». Il envoie une création au jury de la Société Nationale des Beaux Arts, qui la retient pour son Salon annuel au Carrousel du Louvre de décembre 2011.En février 2012, il décide de poursuivre cette démarche et de présenter quelques œuvres sur la…  Toile.

En mars 2012, le bureau de la Société Nationale des Beaux Arts propose à l'assemblée générale sa candidature pour qu'il devienne membre associé de la Société Nationale des Beaux Arts.


En septembre 2012, le jury de la Société Nationale des Beaux Arts retient pour la deuxième année consécutive, une œuvre à l'encre chinoise sur papier intitulée "Je viens sur les ailes de l'aurore" pour son Salon annuel du Carrousel du Louvre de décembre 2012.

Début 2013, il crée neuf œuvres qui sont exposées du 23 avril au 25 juillet 2013 à l'Ile Rousse en Corse.

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Les lettrés et peintres anciens, à chaque fois qu’ils s’inspiraient de leurs ainés, faisaient référence, en les nommant, à ces "maitres racines"  qui leur avaient transmis leurs souffles.Dans le respect de cette tradition généreuse du "chemin des maîtres", Jean-Denis Castro rend aussi hommage aux maîtres anciens à chaque fois qu’une de ses œuvres a été inspirée et nourrie du souffle de leurs œuvres.